Seulement 12 espèces (cultivées ou élevées) utilisées pour 75% des besoins alimentaires de l'humanité, avantage ou désavantage?

[ltr]Anaïs Homsi et Eva-Maria Zakhia[/ltr]







[ltr]La monoculture-Introduction [/ltr]







[ltr]Qu’est-ce que la monoculture ?  [/ltr]







[ltr]La monoculture désigne le système de production agricole où le type de culture d’une espèce végétale est largement dominant dans une région. C’est une donc méthode d'exploitation agricole à grande échelle où l'on ne cultive qu'une seule espèce végétale durant plusieurs années successives.  [/ltr]







[ltr]On retrouve environ 150 espèces végétales sur la planète mais seulement 12 d’entre elles sont utilisées pour subvenir aux besoins alimentaires de 75% de la population mondiale. Pourtant, environ 50% de la planète se contente d’un petit nombre de variétés de trois catégories pour leurs approvisionnements alimentaires: le riz, le blé et le maïs. [/ltr]




[ltr]Par la faute du réchauffement climatique générateur de sécheresses, de pénuries et d’autres enjeux qui menacent les réserves en ressources naturelles, les ressources alimentaires ont fortement diminué, ce qui entraine constamment la croissance du nombre de personnes atteintes de dénutrition et de maladies chroniques qui s’expliquent par la carence en minéraux et peut mener jusqu’au décès. La demande alimentaire augmente alors. En effet, les produits alimentaires sont inégalement distribués à l'échelle mondiale. 
[size=16]Titre : Diagramme circulaire indiquant l’inégale répartition des personnes sous-alimentées dans le monde. 
[/size]


En d’autres mots, ce phénomène mondial (d’inégalité) a un impact majeur sur les agrosystèmes, qui se caractérisent par des écosystèmes dirigés par l’Homme, et donc l’agriculture. D’ailleurs, il existe des régions (surtout dans les pays développés et émergents) où la consommation alimentaire dépasse les besoins de la population, c’est la surconsommation. Deuxième facteur de la perte des ressources alimentaires, la surconsommation s’associe donc au gaspillage.
Titre : Diagramme à barres montrant l’inégale répartition du gaspillage alimentaire à l’échelle internationale.  


De plus, la croissance démographique pose un problème sur la disponibilité alimentaire selon l’organisation des nations unies. On estime que la population mondiale augmentera de 8millliards d'habitants en 2024 à environ 10milliards d'habitants en 2050.   
Or, la production agricole devient de plus en plus chère dû à l’augmentation des coûts de production. 
Tous ces facteurs marquent donc la nécessité de mettre en place urgemment des programmes qui permettent de satisfaire les besoins de la population mondiale, en espérant un changement durable et qui ne nuit pas à l’environnement. 
Problème posé : La monoculture peut-elle permettre la stagnation et même, la diminution de la demande alimentaire qui ne cesse d’accroitre ?  
Avantages: 
La monoculture laisse croire qu’elle pourrait satisfaire les besoins alimentaires en optimisant les ressources. On retrouve par exemple, le blé ou l’avoine qui sont des produits fortement demandés par la population mondiale vu qu’ils sont essentiels pour l’alimentation. Se concentrer sur la production de masse d’un seul type de production présente de nombreux avantages tels que la réduction des coûts de production, une maitrise de la qualité du produit et une meilleure efficacité. En effet, l’application de mêmes techniques et du même matériel surtout technologique (comme les machines) permet une production alimentaire constante plus rapide, plus facile et donc plus efficace. 
Inconvénients : 

Cependant, la monoculture fait malheureusement l’objet de dangereuses polémiques. Ses inconvénients sont dominants par rapport à ses avantages. Premièrement, la surexploitation des sols menace les microorganismes de l'écosystème naturel tels que les insectes. Cultiver un nombre très restreint de cultures sur de vastes zones mène à une importante diminution de la biodiversité, dont l'habitat naturel et la diversité des plantes, et donc de la faune sont menacés. Ceci perturbe les écosystèmes, impacte les pollinisateurs, les insectes bénéfiques et d'autres organismes dépendant de divers habitats. La production intensive sur une même terre mène par la suite à sa fragilisation et à la perte de sa fertilité. Par exemple, durant la seconde guerre mondiale, l’expansion des monocultures d’arachides au Sénégal ont fait l’objet de déforestations et désertifications. L’épuisement des sols peut donc conduire à la déforestation et à la disparition de certaines espèces. De plus, la monoculture augmente les apports chimiques utilisés sur les aliments, ce qui provoque des impacts environnementaux négatifs, comme la pollution de l'eau et/ou des dommages à des organismes non ciblés.


Deuxièmement, la monoculture accentue la vulnérabilité aux parasites et aux maladies pathogènes. Comme il s’agit ici de la même variété excessive de plantation, certaines espèces porteuses de maladies vectorielles, qui se nourrissent des produits cultivés peuvent accentuer la propagation des maladies. Ce système agricole favorise aussi la survenue des épidémies à cause de l’utilisation massive d’engrais chimiques et de pesticides qui sont nuisibles pour la santé (ils peuvent augmenter les risques de cancers, de tumeurs, etc). Enfin, le manque de diversité dans les sources alimentaires est l’une des causes pour laquelle l’humanité est moins résiliente et moins capable de faire face aux catastrophes naturelles, accentuées à cause du changement climatique. Si une seule culture domine toute une région, l'ensemble du système agricole pourrait devenir vulnérable aux risques liés au climat. 
Conclusion : 
Utiliser seulement 12 espèces pour 75% des besoins alimentaires de l’humanité, donc la monoculture, peut causer plus de dommages que de biens sur les écosystèmes et la santé humaine. Malgré ses avantages économiques assez pratiques, il faudrait penser à diversifier les cultures pour sauver la biodiversité, et minimiser la propagation ou l’apparition des maladies. 
Sources : 
-https://idrc-crdi.ca/fr/recherche-en-action/fait-et-chiffres-sur-lalimentation-et-la-biodiversite 
-https://news.un.org/fr/story/2019/05/1044121 
-https://www.slowfood.com/press-releases/la-convention-des-nations-unies-sur-la-biodiversite-sassocie-a-slow-food-a-loccasion-de-la-journee-internationale-de-la-diversite-biologique/ 
-[url=https://ablison.com/fr/avantages-et-inconv%C3%A9nients-de-la-monoculture-a/#:~:text=Inconv%C3%A9nients de la monoculture Efficacit%C3%A9 accrue et rendements,perte de biodiversit%C3%A9 Impact sur les syst%C3%A8mes alimentaires]https://ablison.com/fr/avantages-et-inconv%C3%A9nients-de-la-monoculture-a/#:~:text=Inconv%C3%A9nients%20de%20la%20monoculture%20Efficacit%C3%A9%20accrue%20et%20rendements,perte%20de%20biodiversit%C3%A9%20Impact%20sur%20les%20syst%C3%A8mes%20alimentaires[/url] 
-https://enjeux-ecologiques.fr/2020/05/la-sous-alimentation-mondiale-continue-de-progresser/ 
-https://www.wrm.org.uy/fr/node/12905  
-https://m2rfilms.com/webzine/Christian-Lannou-les-monocultures-favorisent-les-epidemies  
-https://www.agroptima.com/fr/blog/monocultures-pratique-planete/ 
- [url=https://www.cancer-environnement.fr/fiches/expositions-environnementales/pesticides/#:~:text=En milieu professionnel%2C certaines %C3%A9tudes,et pendant de longues p%C3%A9riodes]https://www.cancer-environnement.fr/fiches/expositions-environnementales/pesticides/#:~:text=En%20milieu%20professionnel%2C%20certaines%20%C3%A9tudes,et%20pendant%20de%20longues%20p%C3%A9riodes[/url]
-https://www.researchgate.net/figure/Simplification-des-paysages-agricoles-et-diminution-de-la-biodiversit-fonctionnelle_fig7_309551908  [/ltr]

Bonjour Anaïs et Eva-Maria,
Tout d'abord j'aimerais préciser que votre article est très intéressant et intuitif, je vous félicite pour ce beau travail !
Cependant, j'ai réaliser que vous avez utiliser le terme d'agrosystème dans votre article et vous avez malheureusement oublier de donner une définition, sachant que le mot est très important et que notre chapitre tourne autour de lui. 
Après quelques recherches sur le web, je reviens vers vous avec une description simple mais précise qui m'a paru intéressante. 
Un agrosystème est un "[é]cosystème modifié et contrôlé par l'Homme et dédié à l'exercice de l'agriculture (cultures, élevage, échanges de produits, ...)."

Bonjour Eva-Maria et Anaïs,
Votre article est très intéressant et complet. Seulement, vous n'avez pas préciser un désavantage assez important dans la monoculture: l'utilisation d'eau accrue. En effet comme le dit ma source, certaines cultures nécessitent d'importantes quantités d'eau qui impacte cette ressource et donc aggrave les cas des régions déjà en stress hydrique.
source: 20 avantages et inconvénients de la monoculture | Ablison

[ltr]Bonjours Anaïs et Eva-Maria, 
Je tiens premièrement à vous féliciter sur l’écriture de votre article. Voici quelques points forts que j'ai apprécier de votre article : 
1) Votre texte fournit une définition claire et concise de la monoculture et de ses avantages potentiels, notamment l'augmentation de l'efficacité et la réduction des coûts. 
2) Il met en évidence les préoccupations environnementales et sanitaires importantes associées à la monoculture, telles que la perte de biodiversité, la dégradation des sols et la vulnérabilité accrue aux parasites et aux maladies. 
3) L'article fait référence à plusieurs sources crédibles, notamment l'ONU, la FAO et Slow Food, ce qui renforce sa crédibilité. 
4) Il conclut en soulignant la nécessité de diversifier les pratiques agricoles pour assurer la durabilité à long terme et la santé humaine. [/ltr]
[ltr]Mais comme toutes article il y aussi des points faibles qui sont : 
1) Le texte ne fournit pas d'exemples spécifiques des impacts de la monoculture sur différentes régions ou communautés. 
2) Il n'approfondit pas les facteurs économiques et sociaux qui contribuent à la prédominance de la monoculture. 
3) Ne propose pas de solutions alternatives à la monoculture, outre la diversification, qui pourraient être explorées plus en détail. [/ltr]
[ltr]Finalement voici quelques Informations manquantes que j’ai pu trouver : 
1) Votre texte ne mentionne pas le rôle potentiel de la technologie dans l'atténuation des impacts négatifs de la monoculture. 
2) Il ne discute pas des implications éthiques de la monoculture et de son impact sur les petits agriculteurs et les communautés autochtones. 
3) Votre article ne fournit pas d'informations sur les efforts actuels visant à promouvoir des pratiques agricoles durables et à réduire la dépendance à la monoculture. [/ltr]
[ltr]Sources  [/ltr]
[ltr] https://www.wri.org/insights/how-industrial-agriculture-is-destroying-our-forests [/ltr]
[ltr] https://www.fao.org/biodiversity/fr/ [/ltr]
[ltr] https://ipes-food.org/ [/ltr]
[ltr] J'aimerais un retour de votre part sur mon commentaire.
Bonne journée, 
Votre camarade Basel[/ltr]

Carl a écrit:

Bonjour Anaïs et Eva-Maria,
Tout d'abord j'aimerais préciser que votre article est très intéressant et intuitif, je vous félicite pour ce beau travail !
Cependant, j'ai réaliser que vous avez utiliser le terme d'agrosystème dans votre article et vous avez malheureusement oublier de donner une définition, sachant que le mot est très important et que notre chapitre tourne autour de lui. 
Après quelques recherches sur le web, je reviens vers vous avec une description simple mais précise qui m'a paru intéressante. 
Un agrosystème est un "[é]cosystème modifié et contrôlé par l'Homme et dédié à l'exercice de l'agriculture (cultures, élevage, échanges de produits, ...)."

Cette définition viens du site Actu-Environnement: 

https://www.actu-environnement.com/ae/dictionnaire_environnement/definition/agrosysteme.php4

Bonjour Carl, 
Je comprends ta confusion et reconnait que ce terme est important.
Cependant, nous avons déjà défini ce terme dans notre article. Je t'invite a être attentif et a trouver cette phrase : «agrosystèmes, qui se caractérisent par des écosystèmes dirigés par l’Homme, et donc l’agriculture».

Lenain Louanne a écrit:

Bonjour Eva-Maria et Anaïs,
Votre article est très intéressant et complet. Seulement, vous n'avez pas préciser un désavantage assez important dans la monoculture: l'utilisation d'eau accrue. En effet comme le dit ma source, certaines cultures nécessitent d'importantes quantités d'eau qui impacte cette ressource et donc aggrave les cas des régions déjà en stress hydrique.
source: 20 avantages et inconvénients de la monoculture | Ablison

Bonjour Louanne,
En effet, l'eau est une ressource nécessaire a la monoculture notamment celle du soja, du blé et des pommes de terres.
Nous nous excusons pour cet oubli et nous te remercions pour cette remarque pertinente.

basel a écrit:

[ltr]Bonjours Anaïs et Eva-Maria, 
Je tiens premièrement à vous féliciter sur l’écriture de votre article. Voici quelques points forts que j'ai apprécier de votre article : 
1) Votre texte fournit une définition claire et concise de la monoculture et de ses avantages potentiels, notamment l'augmentation de l'efficacité et la réduction des coûts. 
2) Il met en évidence les préoccupations environnementales et sanitaires importantes associées à la monoculture, telles que la perte de biodiversité, la dégradation des sols et la vulnérabilité accrue aux parasites et aux maladies. 
3) L'article fait référence à plusieurs sources crédibles, notamment l'ONU, la FAO et Slow Food, ce qui renforce sa crédibilité. 
4) Il conclut en soulignant la nécessité de diversifier les pratiques agricoles pour assurer la durabilité à long terme et la santé humaine. [/ltr]




[ltr]Mais comme toutes article il y aussi des points faibles qui sont : 
1) Le texte ne fournit pas d'exemples spécifiques des impacts de la monoculture sur différentes régions ou communautés. 
2) Il n'approfondit pas les facteurs économiques et sociaux qui contribuent à la prédominance de la monoculture. 
3) Ne propose pas de solutions alternatives à la monoculture, outre la diversification, qui pourraient être explorées plus en détail. [/ltr]




[ltr]Finalement voici quelques Informations manquantes que j’ai pu trouver : 
1) Votre texte ne mentionne pas le rôle potentiel de la technologie dans l'atténuation des impacts négatifs de la monoculture. 
2) Il ne discute pas des implications éthiques de la monoculture et de son impact sur les petits agriculteurs et les communautés autochtones. 
3) Votre article  ne fournit pas d'informations sur les efforts actuels visant à promouvoir des pratiques agricoles durables et à réduire la dépendance à la monoculture. [/ltr]




[ltr]Sources  [/ltr]




[ltr] https://www.wri.org/insights/how-industrial-agriculture-is-destroying-our-forests [/ltr]




[ltr] https://www.fao.org/biodiversity/fr/ [/ltr]




[ltr] https://ipes-food.org/ [/ltr]




[ltr] J'aimerais un retour de votre part sur mon commentaire.
Bonne journée, 
Votre camarade Basel[/ltr]

Bonjour Basel,
Merci pour tes remarques positives. Pour répondre a tes remarques négatives, d'abord, la premiere. En effet, nous avions pris un exemple précis, celui du Sénégal et je cite :«Par exemple, durant la seconde guerre mondiale, l’expansion des monocultures d’arachides au Sénégal ont fait l’objet de déforestations et désertifications. » Je t'invite a faire plus attention avant de répondre. 
Pour ce qui concerne les facteurs économiques, nous avons préciser, et je cite :« Se concentrer sur la production de masse d’un seul type de production présente de nombreux avantages tels que la réduction des coûts de production, une maitrise de la qualité du produit et une meilleure efficacité. En effet, l’application de mêmes techniques et du même matériel surtout technologique (comme les machines) permet une production alimentaire constante plus rapide, plus facile et donc plus efficace.» Nous avons mentionner le facteur économique, en expliquant tout ce dont il fallait savoir, l'essentiel pour une compréhension. Nous ne sommes pas en SES, si nous l'étions nous l'aurions approfondi, mais cela nécessite des détails relatifs aux SES qui rendront notre article de SVT hors sujet. L'impact social est notamment mentionné et expliqué longuement, je cite :«L’épuisement des sols peut donc conduire à la déforestation et à la disparition de certaines espèces. De plus, la monoculture augmente les apports chimiques utilisés sur les aliments, ce qui provoque des impacts environnementaux négatifs, comme la pollution de l'eau et/ou des dommages à des organismes non ciblés.» « Comme il s’agit ici de la même variété excessive de plantation, certaines espèces porteuses de maladies vectorielles, qui se nourrissent des produits cultivés peuvent accentuer la propagation des maladies. Ce système agricole favorise aussi la survenue des épidémies à cause de l’utilisation massive d’engrais chimiques et de pesticides qui sont nuisibles pour la santé (ils peuvent augmenter les risques de cancers, de tumeurs, etc). Enfin, le manque de diversité dans les sources alimentaires est l’une des causes pour laquelle l’humanité est moins résiliente et moins capable de faire face aux catastrophes naturelles, accentuées à cause du changement climatique.» «dénutrition et de maladies chroniques»
Les solutions relèvent d'abord de la responsabilité de chacun, comme mentionné dans la phrase :«limiter le gaspillage alimentaire» afin de pratiquer la diversification des cultures. Mais nous jugeons que expliquer la diversification relèvera du sujet d'un autre article et comme nous ne voulions pas sortir du sujet, nous ne l'avions pas fait. Il est est de même pour tes deux derniers commentaires sur nos informations manquantes qui ne relèvent pas, selon nous, d'un article scientifique de SVT. Merci pour ton intervention pertinente et enrichissante!

Luca a écrit:

Chères amies,
 j'ai parcouru avec grand intérêt
votre article sur la monoculture. Je tiens à saluer votre travail approfondi et bien documenté sur ce sujet complexe et essentiel.
Tout d'abord, je suis impressionné par la qualité de la recherche et de la synthèse que vous avez réalisées. . J'apprécie particulièrement votre approche objective, qui met en lumière à la fois les avantages potentiels de la monoculture, comme la réduction des coûts de production et une meilleure maîtrise de la qualité, mais aussi ses nombreux inconvénients, notamment en termes de dégradation de la biodiversité et d'épuisement des sols.
Bien que votre article sur la monoculture soit de qualité, j'aurais souhaité y voir une analyse plus approfondie des solutions envisageables, sinon beau travail.
Cordialement,


Luca.

Cher ami, 
Nous te remercions pour la sincérité de ta réponse et sommes ravies que tu aies apprécié notre article.
Nous reconnaissons que les solutions, telles que la polyculture, sont des points pertinents a mentionner vu la gravité des enjeux de la monoculture. Malheureusement, nous ne voulions pas l'expliquer puisque nous pensions qu'elle relèverai d'information hors-sujet.

Bonjour Anaïs et Eva-Maria, 
Votre article est très intéressant j'ai beaucoup aimer la manière dont vous avez introduit le sujet avec une explication approfondit avec des documents! De plus, la formulation de vos phrases sont très bonnes et compréhensibles! Vous m'avez appris de nouveaux choses avec votre article par exemple, je ne savais pas ce qu'était la monoculture jusqu'à maintenant. 

Merci beaucoup!!
Tiffany

Bonjour,


Je tiens à vous féliciter pour cet article très bien rédigé et intéressant. 


Par contre, je trouve que l'article ne donne pas d'exemples pour plusieurs choses importantes, notamment les pays en pénurie mais ayant un taux de sous-alimentation bas, comme le Koweït. 
De plus, le second document dit que la Chine et l'Inde sont les pays avec les deux plus grands taux de gaspillage (la consommation alimentaire dépasse les besoins de la population), ce qui contredit votre premier document puisqu'il décrit l'Asie comme le continent qui représente le plus grand taux de sous-alimentation. En effet, la Chine et l'Inde représentent environ deux-tiers de la population en Asie, ce qui crée une grande contradiction.
Sources: 
https://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMTendanceStatPays?langue=fr&codePays=KWT&codeTheme=100&codeStat=SN.ITK.DEFC.ZS
https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Asian_countries_by_population

Bonjour Eva-Maria,

Je te félicite que ton article a été très bien rédigé, très complet. Cependant j'en ai trouvé quelques fausses données sur la moyenne de gaspillage par habitant en 2021. Je ne sais pas les données que tu as trouvées sont de quelle année. Voici les informations que j'ai trouvées:

Selon les données de Statista pour 2021, voici la liste des 10 pays qui gaspillent le plus de nourriture par habitant (en kg/an):

1.   Nigéria: 190
2.   Grèce: 176
3.   Irak: 150
4.   Barbados: 149
5.   États-Unis: 135
6.   Australie: 134
7.   Canada: 132
8.   Royaume-Uni: 127
9.   France: 85
10. Allemagne: 78

Source: 
- https://fr.statista.com/statistiques/1459798/gaspillage-alimentaire-annuel-produit-part-pays-europe/

Ton ami,

Benhui

Lee Benhui a écrit:

Bonjour Eva-Maria,

Je te félicite que ton article a été très bien rédigé, très complet. Cependant j'en ai trouvé quelques fausses données sur la moyenne de gaspillage par habitant en 2021. Je ne sais pas les données que tu as trouvées sont de quelle année. Voici les informations que j'ai trouvées:

Selon les données de Statista pour 2021, voici la liste des 10 pays qui gaspillent le plus de nourriture par habitant (en kg/an):

1.   Nigéria: 190
2.   Grèce: 176
3.   Irak: 150
4.   Barbados: 149
5.   États-Unis: 135
6.   Australie: 134
7.   Canada: 132
8.   Royaume-Uni: 127
9.   France: 85
10. Allemagne: 78

Source: 
- https://fr.statista.com/statistiques/1459798/gaspillage-alimentaire-annuel-produit-part-pays-europe/

Ton ami,

Benhui

Bonjour Benhui,

Merci beaucoup pour ta remarque, cependant, je n'arrive pas a ouvrir la source que tu m'a indiquée. Je remarque que nous avons tous les deux utilisé le site Statista pour nos données, je te met la mienne ci-dessous.

https://fr.statista.com/infographie/24359/gaspillage-alimentaire-quantite-de-nourriture-gaspillee-par-pays-par-habitants/

Anthony_Karam a écrit:

Bonjour,


Je tiens à vous féliciter pour cet article très bien rédigé et intéressant. 


Par contre, je trouve que l'article ne donne pas d'exemples pour plusieurs choses importantes, notamment les pays en pénurie mais ayant un taux de sous-alimentation bas, comme le Koweït. 
De plus, le second document dit que la Chine et l'Inde sont les pays avec les deux plus grands taux de gaspillage (la consommation alimentaire dépasse les besoins de la population), ce qui contredit votre premier document puisqu'il décrit l'Asie comme le continent qui représente le plus grand taux de sous-alimentation. En effet, la Chine et l'Inde représentent environ deux-tiers de la population en Asie, ce qui crée une grande contradiction.
Sources: 
https://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMTendanceStatPays?langue=fr&codePays=KWT&codeTheme=100&codeStat=SN.ITK.DEFC.ZS
https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Asian_countries_by_population

Bonjour,

Merci pour ta remarque. En effet, on aurait surement du mentionner le Koweit dans notre article, qui a un taux de sous alimentation assez bas. Concernant la Chine et l'Inde, je comprends ta confusion. Ce sont deux pays qui sont l'exception du reste des pays asiatiques. En Chine, le taux de sous alimentation est inférieur a 2.5%. En Inde, le taux de sous-alimentation et de gaspillage sont tous les 2 élevés, surement du aux inégalités au sein du pays. En bref, notre 1er document comprend des données assez générales et en moyenne du continent, sans pour autant prendre en compte certaines exceptions comme ces 2 pays

Eva-Maria a écrit:

Lee Benhui a écrit:

Bonjour Eva-Maria,

Je te félicite que ton article a été très bien rédigé, très complet. Cependant j'en ai trouvé quelques fausses données sur la moyenne de gaspillage par habitant en 2021. Je ne sais pas les données que tu as trouvées sont de quelle année. Voici les informations que j'ai trouvées:

Selon les données de Statista pour 2021, voici la liste des 10 pays qui gaspillent le plus de nourriture par habitant (en kg/an):

1.   Nigéria: 190
2.   Grèce: 176
3.   Irak: 150
4.   Barbados: 149
5.   États-Unis: 135
6.   Australie: 134
7.   Canada: 132
8.   Royaume-Uni: 127
9.   France: 85
10. Allemagne: 78

Source: 
- https://fr.statista.com/statistiques/1459798/gaspillage-alimentaire-annuel-produit-part-pays-europe/

Ton ami,

Benhui

Bonjour Benhui,

Merci beaucoup pour ta remarque, cependant, je n'arrive pas a ouvrir la source que tu m'a indiquée. Je remarque que nous avons tous les deux utilisé le site Statista pour nos données, je te met la mienne ci-dessous.

https://fr.statista.com/infographie/24359/gaspillage-alimentaire-quantite-de-nourriture-gaspillee-par-pays-par-habitants/

Bonjour Eva-Maria,

Je sais que si on ne s'y abonne pas, on n’arrivera pas à l'ouvrir. Du coup, j'ai utilisé l'IA pour extraire les informations utiles de ce site. En tout cas, merci d'avoir pris en considération mon avis.

Ton ami,

Benhui Li

Anaïs Homsi a écrit:

Luca a écrit:

Chères amies,
 j'ai parcouru avec grand intérêt
votre article sur la monoculture. Je tiens à saluer votre travail approfondi et bien documenté sur ce sujet complexe et essentiel.
Tout d'abord, je suis impressionné par la qualité de la recherche et de la synthèse que vous avez réalisées. . J'apprécie particulièrement votre approche objective, qui met en lumière à la fois les avantages potentiels de la monoculture, comme la réduction des coûts de production et une meilleure maîtrise de la qualité, mais aussi ses nombreux inconvénients, notamment en termes de dégradation de la biodiversité et d'épuisement des sols.
Bien que votre article sur la monoculture soit de qualité, j'aurais souhaité y voir une analyse plus approfondie des solutions envisageables, sinon beau travail.
Cordialement,


Luca.

Cher ami, 
Nous te remercions pour la sincérité de ta réponse et sommes ravies que tu aies apprécié notre article.
Nous reconnaissons que les solutions, telles que la polyculture, sont des points pertinents a mentionner vu la gravité des enjeux de la monoculture. Malheureusement, nous ne voulions pas l'expliquer puisque nous pensions qu'elle relèverai d'information hors-sujet.

Chères camarades,
Je suis heureux de savoir que mon commentaire vous ai plu. Je ne suis pas tout à fait d'accord sur le fait que d'expliquer les solutions soit du hors sujet. Personnellement je trouve que cette information rendrait votre article plus riche qu'il ne l'est déjà et je pense que c'était plutôt dommage de ne pas l'avoir ajouté.
Cordialement,
Luca.

Eva-Maria a écrit:

Anthony_Karam a écrit:

Bonjour,


Je tiens à vous féliciter pour cet article très bien rédigé et intéressant. 


Par contre, je trouve que l'article ne donne pas d'exemples pour plusieurs choses importantes, notamment les pays en pénurie mais ayant un taux de sous-alimentation bas, comme le Koweït. 
De plus, le second document dit que la Chine et l'Inde sont les pays avec les deux plus grands taux de gaspillage (la consommation alimentaire dépasse les besoins de la population), ce qui contredit votre premier document puisqu'il décrit l'Asie comme le continent qui représente le plus grand taux de sous-alimentation. En effet, la Chine et l'Inde représentent environ deux-tiers de la population en Asie, ce qui crée une grande contradiction.
Sources: 
https://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMTendanceStatPays?langue=fr&codePays=KWT&codeTheme=100&codeStat=SN.ITK.DEFC.ZS
https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Asian_countries_by_population

Bonjour,

Merci pour ta remarque. En effet, on aurait surement du mentionner le Koweit dans notre article, qui a un taux de sous alimentation assez bas. Concernant la Chine et l'Inde, je comprends ta confusion. Ce sont deux pays qui sont l'exception du reste des pays asiatiques. En Chine, le taux de sous alimentation est inférieur a 2.5%. En Inde, le taux de sous-alimentation et de gaspillage sont tous les 2 élevés, surement du aux inégalités au sein du pays. En bref, notre 1er document comprend des données assez générales et en moyenne du continent, sans pour autant prendre en compte certaines exceptions comme ces 2 pays

Bonjour,

Je suis d'accords avec votre explication du cas de l'inde avec les inégalités aux sein du pays, en revanche je trouve qu'inclure un document de statistiques qui ne compte pas les pays les plus peuplés un peut contre-intuitif, notamment dans un article scientifique qui est basé que sur des vérités et des études. De plus, je pense qu'il aurait été pertinent de présenter l'exemple particulier de l'Inde.

Anthony_Karam a écrit:

Eva-Maria a écrit:

Anthony_Karam a écrit:

Bonjour,


Je tiens à vous féliciter pour cet article très bien rédigé et intéressant. 


Par contre, je trouve que l'article ne donne pas d'exemples pour plusieurs choses importantes, notamment les pays en pénurie mais ayant un taux de sous-alimentation bas, comme le Koweït. 
De plus, le second document dit que la Chine et l'Inde sont les pays avec les deux plus grands taux de gaspillage (la consommation alimentaire dépasse les besoins de la population), ce qui contredit votre premier document puisqu'il décrit l'Asie comme le continent qui représente le plus grand taux de sous-alimentation. En effet, la Chine et l'Inde représentent environ deux-tiers de la population en Asie, ce qui crée une grande contradiction.
Sources: 
https://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMTendanceStatPays?langue=fr&codePays=KWT&codeTheme=100&codeStat=SN.ITK.DEFC.ZS
https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Asian_countries_by_population

Bonjour,

Merci pour ta remarque. En effet, on aurait surement du mentionner le Koweit dans notre article, qui a un taux de sous alimentation assez bas. Concernant la Chine et l'Inde, je comprends ta confusion. Ce sont deux pays qui sont l'exception du reste des pays asiatiques. En Chine, le taux de sous alimentation est inférieur a 2.5%. En Inde, le taux de sous-alimentation et de gaspillage sont tous les 2 élevés, surement du aux inégalités au sein du pays. En bref, notre 1er document comprend des données assez générales et en moyenne du continent, sans pour autant prendre en compte certaines exceptions comme ces 2 pays

Bonjour,

Je suis d'accords avec votre explication du cas de l'inde avec les inégalités aux sein du pays, en revanche je trouve qu'inclure un document de statistiques qui ne compte pas les pays les plus peuplés un peut contre-intuitif, notamment dans un article scientifique qui est basé que sur des vérités et des études. De plus, je pense qu'il aurait été pertinent de présenter l'exemple particulier de l'Inde.

Bonjour,

Nous n'avions pas mentionné l'exemple de l'Inde pour éviter trop de détails qui s'éloignent de notre sujet, et avions jugé mieux d'inclure un document plus général, mais nous te remercions pour ta remarque pertinente et la considérons.

Bonjour Eva-Maria et Anaïs,
Tout d'abord, je tiens à vous féliciter pour votre travail sérieux et rigoureux. Cependant, j'ai remarqué que vous avez accordé plus d'attention aux inconvénients de la monoculture qu'à ses avantages. Par exemple, vous avez discuté en détail des impacts négatifs sur l'environnement et la santé, mais vous avez peut-être oublier de mentionner certains avantages, tels que la réduction des coûts de production. Je pense qu'une analyse plus équilibrée des avantages et des inconvénients serait bénéfique pour offrir une perspective plus complète sur le sujet.

sources:

https://eos.com/fr/blog/monoculture-agricole/

Georges

Bonjour Anaïs et eva maria, je vous remercie pour votre article. Votre article fournit une analyse détaillée des avantages et inconvénients de la monoculture en tant que système de production agricole. Cependant, un aspect qui n'est pas abordé est celui des solutions alternatives à la monoculture pour assurer la sécurité alimentaire tout en préservant la biodiversité et les écosystèmes.
Donc ma question pour est la suivante: Quelles sont les alternatives à la monoculture en agriculture, telles que l'agroforesterie, la rotation des cultures, ou l'agriculture biologique, et comment peuvent-elles contribuer à diversifier les systèmes de production agricole, améliorer la résilience des écosystèmes et assurer la sécurité alimentaire à long terme ?

Merci

Bonjour Eva Maria et Anaïs,
J’ai trouvé votre article intéressant, cependant je le trouve trop court pour un sujet qui aurait pu être approfondi. En effet, vous auriez pu faire une partie sur les solutions, ainsi que donner des exemples de monoculture dans le monde. Voici un lien vers des solutions contre la monoculture : https://www.agroptima.com/fr/blog/monocultures-pratique-planete/#:~:text=Un%20exemple%20de%20la%20lutte,compris%20la%20diversification%20des%20cultures.

Georges Nahra a écrit:

Bonjour Eva-Maria et Anaïs,
Tout d'abord, je tiens à vous féliciter pour votre travail sérieux et rigoureux. Cependant, j'ai remarqué que vous avez accordé plus d'attention aux inconvénients de la monoculture qu'à ses avantages. Par exemple, vous avez discuté en détail des impacts négatifs sur l'environnement et la santé, mais vous avez peut-être oublier de mentionner certains avantages, tels que la réduction des coûts de production. Je pense qu'une analyse plus équilibrée des avantages et des inconvénients serait bénéfique pour offrir une perspective plus complète sur le sujet.

sources:

https://eos.com/fr/blog/monoculture-agricole/

Georges

Merci pour ta remarque. 
Il est vrai que nous avions accordé plus d'attention aux inconvénients de la monoculture qu'à ses avantages. D'ailleurs, nous avions jugé que les inconvénients pesaient "plus lourds" et devaient être prioritaires puisqu'ils peuvent " causer plus de dommages que de biens sur les écosystèmes et la santé humaine". 
De plus, nous avions déjà mentionné la réduction des coûts de production dans cette phrase : "Se concentrer sur la production de masse d’un seul type de production présente de nombreux avantages tels que la réduction des coûts de production". 
Ainsi, pour répondre à ton commentaire, je trouve qu'il ne faudrait pas équilibrer les avantages et inconvénients de la monoculture, puisqu'il faut "alarmer" les personnes sur la gravité des enjeux qu'elle suscite, afin de les inciter à prendre des mesures favorables au développement durable et utiliser des alternatives comme la polyculture.

Tehani Honoré a écrit:

Bonjour Eva Maria et Anaïs,
J’ai trouvé votre article intéressant, cependant je le trouve trop court pour un sujet qui aurait pu être approfondi. En effet, vous auriez pu faire une partie sur les solutions, ainsi que donner des exemples de monoculture dans le monde. Voici un lien vers des solutions contre la monoculture : https://www.agroptima.com/fr/blog/monocultures-pratique-planete/#:~:text=Un%20exemple%20de%20la%20lutte,compris%20la%20diversification%20des%20cultures.

Bonjour Tehani,

Nous n'avions pas mentionner de solutions pour éviter des hors-sujets, mais je suis d'accord avec toi, nous aurions dû en mentionner quelques unes. Merci beaucoup pour ta remarque pertinente, nous en tiendrons compte!

Daochen_LIU a écrit:

Bonjour Anaïs et eva maria, je vous remercie pour votre article. Votre article fournit une analyse détaillée des avantages et inconvénients de la monoculture en tant que système de production agricole. Cependant, un aspect qui n'est pas abordé est celui des solutions alternatives à la monoculture pour assurer la sécurité alimentaire tout en préservant la biodiversité et les écosystèmes.
Donc ma question pour est la suivante: Quelles sont les alternatives à la monoculture en agriculture, telles que l'agroforesterie, la rotation des cultures, ou l'agriculture biologique, et comment peuvent-elles contribuer à diversifier les systèmes de production agricole, améliorer la résilience des écosystèmes et assurer la sécurité alimentaire à long terme ?

Merci

Bonjour Daochen,

Comme tu l'a dis toi même, la rotation des culture est une alternative. Etant le contraire de la monoculture, elle consiste à alterner les cultures cultivées sur une même parcelle de terre au fil du temps. Elle est résiliente aux aléas climatiques, aux maladies, permet une diversification alimentaire, améliore la fertilité des sols, etc.... Bien que la rotation des cultures puisse ne pas toujours offrir les mêmes rendements spécifiques à court terme que la monoculture, elle joue un rôle important dans la sécurité alimentaire, la nutrition, la résilience environnementale et la durabilité à long terme des systèmes agricoles.


https://www.greenup-unep.org/fr/rotation-des-cultures-pour-prevenir-lerosion-des-sols/